Les Echos
« Les modèles de plates-formes sont une manière d'adresser les questions de rentabilité, de coûts et de besoins très significatifs en investissements, dans un contexte économique sous pression, à l'instar du secteur automobile, où les constructeurs ont mutualisé certaines chaînes de production », souligne Ada Di Marzo, associée chez Bain & Company et directrice générale du bureau de Paris.
Les activités les plus susceptibles de migrer vers ces mises en commun « sont généralement à faible valeur ajoutée, très consommatrices en ressources. Le KYC est un bon exemple, avec le développement d'initiatives qui permettent aujourd'hui la standardisation et la mutualisation de données entre banques, avec l'objectif d'améliorer l'efficacité opérationnelle et l'expérience client », ajoute Pierre de Raismes, associé chez Bain & Company.
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