L'Opinion
Cinq siècles après que Nicolas Copernic a osé affirmer que l’approche géocentrique était erronée, c’est au tour des banques traditionnelles de faire face à une découverte similaire.
Elles ne sont plus le centre d’un système immuable autour duquel gravitent tant bien que mal et en toute dépendance l’économie et leurs clients.
La digitalisation, la volonté des citoyens de reprendre le contrôle de leurs finances et l’essor fulgurant des fintech qui en résulte les confrontent à une difficile réalité : s’adapter rapidement ou mourir lentement.