The New York Times
C'est un gros travail pour la nouvelle administration qui devra persuader les Français - et les entreprises françaises, les investisseurs et les travailleurs - de se sentir plus optimistes quant à l'avenir après un long malaise.
« Il faut un certain temps, mais il parvient à mettre en œuvre au moins la moitié de ce qu'il faut pour arrêter de diminuer la compétitivité et changer la trajectoire de la France », d’après Olivier Marchal partner de Bain & Company. « S'il accomplit cela, l'emploi reprend, la confiance est reconstruite, de nouveaux investissements entrent, et nous passons d'un cycle vicieux à celui d'un vertueux. »