Usine Nouvelle
"Quand tout a fermé, nous étions exactement au changement de saison. Il y a des stocks énormes qui n’ont pas pu être écoulés. Toute la collection printemps-été est perdue”, explique Joëlle de Montgolfier, directrice de la recherche pour le luxe au sein du cabinet Bain & Company. Malgré une trésorerie robuste, les groupes français du luxe risquent d’affronter une baisse inédite de leurs ventes. D’autant plus que ces acteurs sont fortement exposés au marché chinois : le pays représentait un tiers des achats en 2019 et pourrait représenter 47 à 49 % du marché à l’horizon 2025 selon l'étude de Bain publiée le 7 mai.
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