Challenges
Au cours des derniers mois, le marché s'est inquiété de l'impact de l'inflation sur les consommateurs de la « génération Z » ou « Gen Z », nés entre 1996 et 2012.
Mais les groupes européens du luxe continuent d'afficher de solides résultats, leurs clientèles puisant dans les économies accumulées pendant la pandémie de COVID-19 pour s'offrir par exemple des bobs à 300 dollars ou des baskets à 900 dollars.
Selon le cabinet de conseil, les très jeunes consommateurs de la « Gen Z » mais aussi leurs aînés de la « génération Y » (ou « Millenials ») ont alimenté la croissance de l'industrie du luxe cette année.
Ces deux générations ont fait leurs premiers achats de luxe entre 18 et 20 ans mais les jeunes nés au début des années 2010, la « génération Alpha », devraient s'y mettre encore plus tôt, dès l'âge de 15 ans.
« Ils ont été exposés plus tôt à ce type de marques grâce aux technologies du numérique et aux réseaux sociaux qui ont fait d'eux des observateurs très avertis du luxe depuis leur enfance », a déclaré Federica Levato, associée de Bain.
Lire la totalité de l'article sur Challenges