Capital Finance
A la mi-novembre, Michelin formalisait son fonds de corporate venture (il entend déployer entre 25 et 30 M€ par an). Dans le même temps, Schneider Electric Ventures annonçait qu’il mettrait au travail entre 300 et 500 M€ dans les cinq prochaines années. Début octobre, AG2R-La Mondiale se dotait, quant à lui, d’une petite structure d’investissement (AML Innovation disposant d’une dotation de 10 M€ pour financer assurtech, fintech et e-santé).
Et si, derrière ces initiatives, se masquait un relatif essoufflement du corporate venture en France ? D’après le baromètre exclusif dressé par Capital Finance, les fonds de corporate venture n’ont participé qu’à une petite trentaine de tours de table entre janvier et septembre. C’est 28 % de moins en un an (lire, p. 26-27). La troisième édition du rapport « David avec Goliath », récemment publié par Raise et Bain & Company, soulignait que les relations entre start-up et grands groupes se traduisent moins par des prises de participation que par des partenariats business et autres accompagnements (labs, incubateurs, accélérateurs).
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